………..au milieu des arbres millénaires…….

Lucas Strong  est un riche industriel et dirigeant de l’Office des Eaux du Vermont. Sa fille a été kidnappée. Le paiement de la rançon a terriblement mal tourné et s’est conclu par une fusillade à l’entrée de la forêt nationale de Green Mountain. Les ravisseurs se sont échappés avec leur otage et l’argent de la rançon et se sont enfuis dans les bois. 
Strong considérant le raté phénoménal, a décidé de faire appel des personnes supplémentaires capables de mener une enquête en parallèle et de lui ramener sa fille, saine et sauve et pourquoi pas les ravisseurs afin de les traduire en justice.
C’est pourquoi, il contacta deux de ses vieilles connaissances : Jenny Barnes, qu’il connait avant tout par les parents de celle-ci, (il avait même participer aux recherches relatives à Betty, la soeur de Jenny.) Strong sait à quel point l’agenda de Jenny regorge de relations.  Et le Père Mateo, dont il s’est fait un véritable ami lorsque Strong vivait au Mexique. Il leur fit part du drame et leur demanda s’ils pouvaient l’aider. La réponse fut évidente pour les deux interlocuteurs. Strong leur donna carte blanche pour qu’ils s’entourent des personnes leur semblant les plus aptes à les aider dans cette enquête. Bien évidemment, Jenny Barnes contacta Joe. Le père Mateo s’empressa de contacter Harvey Walters qui lui même vit une occasion pour se rapprocher d’Ashkan, connaissant son penchant pour les aventures et connaissant ses capacités d’adaptation….et ses besoins d’argent,… Le père Mateo, pensa bien entendu à William York, son très vieil ami, qui ne rechigne jamais à la tâche et encore moins quand il s’agit de mettre hors d’état de nuire des voyous…

Vous êtes donc engagés à vous joindre aux équipes de recherche mises sur pied par Strong et la police du Vermont et vous devez vous rendre à Bennington , au pied de la forêt de Green Mountain pour la réunion d’information organisée, qui commencera à 10h précise. 


EXTRAITS DU JOURNAL DE HARVEY WALTERS: AFFAIRE STRONG

Le 18/06/1920,

Je reçois ce jour un télégramme du père Matéo, m’invitant à le rejoindre immédiatement dans une étrange affaire d’enlèvement de la fille d’un ami et riche industriel du Vermont.
Je profite de la présence Pete Ashkan pour l’’inviter à se joindre à moi.
Avec les années Pete est devenu comme un fils pour moi.
Nos affaires prêtes nous courons à la gare, sachant à quel point les disparitions d’enfants tiennent à cœur de mon ami.

Le 19/06/1920,
Pete et moi sommes rejoint par le père Matéo et William York, un jeune et fort fossoyeur.
Ils nous précisent que d’autres connaissances de Lucas Strong nous rejoindrons à la gare de Bennington dans la soirée.



A notre arrivée à la gare, nous croisons nos acolytes, Jenny Barnes jeune rentière et Joe Diamond le détective.
Nous apprenons également qu’un drame s’est déroulé le matin même dans une tentative de paiement de la rançon qui a tourné à la fusillade.
Harrys le kidnappeur et un complice sont arrivés à s’enfuir dans la forêt de Green Moutain.
Après de courtes présentations, nous partons rapidement à l’Hôtel Walloomsac Inn afin d’y prendre un repos bien mérité après ce long voyage.



Le 20/06/1920,
Après le déjeuner, vers 10 heures le shérif du comté de Bennington et Lucas Strong établissent un débriefing dans le grand hall de l’’hôtel.
Le directeur des Eaux du Vermont propose une récompense de 5000 $ pour ramener sa fille Jane, 16 ans en vie avec éventuellement les coupables… morts ou vifs. Il propose à ceux qui s’investissent un dédommagement de 25 $ par jour.
Le shérif explique les faits de la veille et l’organisation de la battue pour fouiller la forêt.
Je suis ravi d’avoir pris mes vêtements et chaussures d’expédition dans ma valise, ainsi que ma boussole.



Dans un premier temps nous partons vers un magasin dans Main Street afin de compléter nos équipements et d’acheter des rations pour 5 jours.
A la sortie, il nous reste une heure avant de rejoindre le shérif sur la place.
Nous décidons de nous séparer en deux groupes.
Jenny, Joe et Pete vont enquêter auprès du journal local le Bennington Evening Banner.



Le père Matéo, William et moi-même optons pour la bibliothèque.



A la bibliothèque nous obtenons des informations sur Lucas Strong et l’exploitation d’un réservoir d’eau du côté de Somerset.
Sur l’histoire du comté durant la guerre d’indépendance et de sécession.
Sur cette dernière période une légende local parle de déserteurs de l’Union réfugiés dans une cabane près du lac de Somerset avant un départ vers le Canada plus au nord. (Menés par un certain Joseph Turner)
Sinon plus récemment des groupes de chasseurs ont rapporté que le centre de la forêt était vide d’animaux.



Nos comparses ont reçu d’autres informations auprès du journal local.
Un groupe d’artistes peintres et sculpteurs est parti également depuis trois jours dans la forêt du côté du lac.
Les superstitions locales à propos de cimetière indien et de fantômes de la guerre de sécession sont également évoquées.
Vers midi, nous nous réunissons pour partager nos informations sur la place en attendant les instructions du shérif.
Il  organise un encerclement de la forêt afin de former une nasse avec les autres équipes de recherche.
Ce dernier décide de nous emmener sur le lieu de l’’échange avec Harrys.
La clairière est jonchée de douilles et d’impacts, démontrant l’intensité des coups de feu.
Le sentier qui entre dans la forêt part vers le nord-est, direction prise également par les kidnappeurs qui ont du se réfugier près du lac.



Cette première demi-journée se solde par la rencontre d’un chasseur et son fils (Halister Lawson et son fils John) qui repartent vers Bennington, l’air mal à l’aise pour ne pas dire malaise.
Ils ont perdu de vue un autre groupe de chasseurs Brian Howl et son fils partis près du lac.
Jenny arrive difficilement à négocier pour obtenir un fusil de chasse et 8 munitions.
En effet le danger des lieux commence à se constater.
Pour la première nuit le campement est dressé et le repas préparé par mes soins avec quelques trouvailles locales de William.
Joe dans l’euphorie de notre situation peu commune décide d’immortaliser l’’instant avec la prise d’une photo avec le flash.
Cependant cela n’était pas du gout de chasseurs, proches de notre campement, qui nous ont tirés dessus.
Une fois l’incident éclairci les tours de garde furent instaurés.
Seul, le bruit d’un moteur fut perçu durant la nuit.
Cette première nuit j’ai mal dormi pour ne pas dire cauchemardé.
En effet je me suis retrouvé dans la forêt dont les feuilles jaunes tombaient à travers les rais de lumière transperçant les ténèbres des branches épaisses qui me surplombaient, devant une cabane délabrée dont la porte s’est entrouverte lentement pour laisser paraître des silhouettes qui s’avancent doucement mais avec détermination vers moi. Je voulais m’enfuir en courant mais je ne peux les quitter des yeux. Mes muscles se tendent alors que mon cerveau crie à mes membres d se mettre en marche mais je suis impuissant.
Les silhouettes portent des uniformes de la guerre de sécession délabrés.
Puis une voix d’outre-tombe se fit entendre alors qu’elles approchent.
« Viens avec nous, rejoints nous à son service, embrasses ton nouveau destin et sers sa gloire éternelle. «.
Son visage est terne, pale et ne cille pas. Une trainée de pourriture verte foncée coule d’une orbite vide. Il sourit et sa peau se crevasse.
C’est alors que je me suis réveillé en sursaut, terrorisé.



William semble lui aussi avoir passé une mauvaise nuit.
Coups de feu et grognements ont été perçus.

Le 21/06/1920,
Après recherches nous suivons une piste ensanglantée qui aboutira à la découverte d’un artiste peintre poignardé à plusieurs reprises, mort et mangé en partie par les animaux.
Les traces dans l’autre sens nous conduisent à un carrefour entre notre sentier de départ et un autre beaucoup plus large avec des traces de passage d’un véhicule.



C’est alors que nous entendîmes un camion arriver.
Nous pénétrons plus avant dans le sentier afin d’être cachés par les arbres.
En position de guet le camion est conduit par un homme au regard mauvais qui semblent avoir remarqué certain d’entre nous, mais continue sa route plus au nord, vers le réservoir.



Voici que le deuxième jour se termine avec un mois de juin aux couleurs d’automne…
Le camp fut dressé pour la nuit rapidement suivi par un repas frugal et une fatigue bien présente. Les tours de garde furent organisés.
Seuls faits remarquables de la nuit fut la rencontre de trois gars qui abandonnent la battue pour retrouver la fille Strong. Ils sont fatigués et malades d’avoir consommé du gibier, mais surtout apeurés par les « fantômes » rencontrés, les bruits de tirs, grondements, cris divers qui peuplent la forêt autour du lac. Ils sont en panique juste à l’idée de rester une minute de plus et s’en vont de nuit vers Bennington. Et il y a eu une explosion du côté du réservoir. Joe dit avoir vu une lumière bleuté accompagné le flash de la détonation. Cette nuit encore les cauchemars ont été présents pour tous. Je me souviens vaguement avoir été proche du lac de nuit où seule la lune se reflète dans les eaux noires.



Puis apparaissent des lumières et une chose métallique qui sort de l’eau avec des lames…
Encore un réveil en sursaut.
Le 22/06/1920,
Quelque chose de sinistre se trame dans cette partie de la forêt.
L’entité vue dans le rêve serait-elle celle évoquée dans le cauchemar précédent, des serviteurs seraient-ils à l’œuvre pour la réveiller et les autres sont bien silencieux sur le contenu de leurs cauchemars…
Afin d’avoir des réponses, il est décidé de barrer la route afin de stopper le camion et son étrange chauffeur.
Des branches furent à peine menées au milieu du passage que le bruit du moteur venant du nord s’approche.
Le camion stoppe et le chauffeur descend. Ce dernier semble se mouvoir de façon mécanique comme un pantin.
Le père Matéo décide de s’approcher afin de le maîtriser mais il se fait remarquer.
Aussi étrange que cela puisse paraitre le chauffeur au regard fixe demande de l’aide pour dégager la route.
C’est alors qu’après quelques courts échanges, Matéo remarque des blessures mortelles, le teint livide et les yeux qui ne cillent pas.
Le soi-disant chauffeur devrait être mort…
Pendant ce temps William et Jenny fouille l’’arrière du camion, rempli de gravats. Par chance Jenny trouve quelques pierres bleues pale.



Joe, lui fouille la cabine et trouve une caisse de dynamite.
Le chauffeur montre quelques signes d’agacement après avoir surpris les bruits autour de son camion et redemande de l’aide.
La voie fut dégagée et nous le laissâmes partir à notre grand étonnement.
J’analyse les pierres recueillies par Jenny, mais je n’ai rien vu de tel de toute ma carrière, à croire qu’elles sont … d’ailleurs.

Pete Afshan très affaibli et malade décide de repartir vers Bennington avec son chien.
En cette fin de matinée du 3ème jour nous décidons de suivre finalement la direction nord – est.
Joe remarque alors un éclat lumineux à travers la forêt sur sa gauche. Alors que nous alors vers la source à travers les arbres, coup de feu retentit avec un impact de balle à quelques centimètres au-dessus de nous.
Un gars est retranché derrière un arbre avec son fusil.
Jenny le somme d’arrêter de tirer et lui nous demande de partir et de le laisser en paix.
J’engage alors une discussion avec le gars à l’accent new yorkais afin de la raisonner mais un second coup feu atteint le père Matéo à la jambe.
Il se traine à l’abri et nous faisons chacun de même. Je prolonge la discussion pendant que le détective l’approche discrètement.
Joe  se rend compte au bruit du réarmement que le fusil n’a plus de munition.
Il fonce et rattrape ce qui se révèle être le complice blessé de Harrys lors de l’échange de rançon raté, Clayton.
Après quelques questions, il nous révèle que leur repaire est situé à quelques centaine de mètres et qu’Harrys, qui l’a abandonné à son sort, doit s’y trouver avec Dobson qui garde la fille Strong.
Matéo blessé restera sur place avec le complice très affaibli par sa blessure aussi.
Joe, Jenny, William, Matéo et moi partons dans la direction indiquée par Clayton.
Après le passage de deux crêtes, nous découvrons une petite clairière occupée par une petite cabane délabrée. Mais à son approche, une horrible découverte, accompagnée d’une odeur de mort.
Un homme est à trois mètres cinquante de hauteur empalé vif sur une branche d’arbre…
La cabane a été trouée par de multiples tirs et quelques planches ont arrachées de ci, de là. Les lieux montrent de multiples traces de pas lancinant et de combats.
Pendant que mes amis étudient le cadavre suspendu, intrigué par le silence, je m’approche discrètement de l’abri afin d’observer l’intérieur. C’est alors que je suis repéré par Harrys planqué et armé d’une mitraillette Thompson.
J’entame alors une discussion afin de le persuader à se calmer, voir à se rendre.
Il finit par m’inviter dans la cabane. J’apprends qu’il s’y est réfugié depuis deux jours et qu’il a retrouvé Dobson mort et la fille Strong disparue à son retour de Bennington.
Il voulait se reposer avant de partir au Canada, mais il en fut empêcher par des attaques chaque nuit.
A peine a-t-il pu se détendre qu’il tombe épuisé en catatonie.
Je le désarme et le ligote avant d’appeler les autres.
Une discussion s’engage afin de déterminer nos futures actions.
Après plusieurs options envisagées nous décidâmes de laisser Clayton blessé et Harrys inconscient en forêt non loin de l’embranchement des chemins découvert la veille.
A cette croisée des chemins nous prenons la direction du nord avec le père Matéo enfin rétabli.
Quarante-cinq minutes plus tard nous découvrons sur notre droite le campement ravagé des artistes venus de Boston et de nombreuses traces de lutte, mais aucun corps présents.
La fouille du camp m’a permis de m’équiper d’un chapeau texan et d’’un fusil de chasse calibre 12 avec la bandoulière à munitions.
Un carnet relatant les derniers jours de cette sortie fut trouvé, mais ce sont les toiles trouvées sur place qui m’ont le plus choqué.
Elles représentaient exactement mes visions cauchemardesques de ces 2 derniers jours.
Pendant que j’essayais de reprendre mon souffle et mes esprits, l’équipe décide de suivre les traces fraiches.
Ce nouveau chemin nous amène à la cabane vue dans nos rêves celle de Joseph Turner et ses déserteurs morts vivants.
Sans aucune trace de vie, nous décidons de pénétrer dans le bâtiment.
Après une fouille infructueuse du rez-de-chaussée, nous nous engageons avec beaucoup d’hésitations dans le sous-sol, d’où émane une étrange lueur bleue.
Nous découvrons cinq cercueils à deux places en cristal bleu. Deux sont occupés par des hommes de Turner.
La fouille des cercueils vides nous permet de confirmer l’âge des occupants, un aiguillon de la créature du lac aperçu dans le lac noir.
Aiguillon dont la fonction semble être l’inoculation d’une substance.
Le carnet des mémoires de Joseph Turner nous révèle enfin l’intrigue autour du lac et du site d’excavation du réservoir :
Joseph Turner et ses hommes n’ont pas eu le temps de fuir vers le Canada comme prévu initialement.
Une entité supérieure, appelé grand ancien est tombée sur terre à bord d’une comète de cristal bleu, il y a plusieurs siècles. Les cristaux se sont éparpillés partout sur terre et cette chose essaie de les atteindre afin de les détruire pour retrouver la liberté et envahir au passage notre monde.
Depuis son plan d’existence, il se matérialise et transmet des rêves avec la promesse de l’immortalité à ses futurs esclaves.
En échange de cette vie éternelle, les sbires doivent retrouver le cristal bleu et lui ramener au lac afin de le détruire.
Ce Dieu s’appelle Gla Aki.
Mais au cours de nos découvertes les deux esclaves endormis se relèvent et nous propose de rejoindre leur « Dieu » et de le servir.
C’est au moment où nous décidons de quitter la cave qu’ils passent à l’attaque.
J’esquive la première attaque mais perd le combat au deuxième tour.
Blessé, je suis extrait in extremis par mes compagnons qui referment la trappe d’accès et la bloque.
Une fois sortis à l’extérieur, s’engage des discussions enflammées sur l’utilité de mettre le feu ou non, à la cabane afin de détruire ses occupants.
Compte tenu de la sécheresse du milieu forestier, il a été finalement décidé de ne pas jouer avec le feu qui pourrait se répandre et nous prendre au piège.
Nous poursuivons notre avancée en suivant les traces qui nous mènent au lac en fin d’après-midi.



Nous suivons les traces qui longent la berge et découvrons avec horreur cinq personnes du camp des artistes, attachées à des poteaux, en plein processus de transformation en esclaves, un aiguillon chacun planté dans le corps.
Encore conscient, ils nous demandent de les achever en retirant les pointes.
Devant la situation et les hésitations des autres je m’exécute et libère les victimes de leurs tourments.
Nous connaissons maintenant sa façon de dominer ses victimes et comprenons qu’ils doivent être encore nombreux à ce jour.
Deux adeptes nous surprennent sur les berges et font mine de fuir.
Il s’avère qu’un peu plus loin ils nous tendent une embuscade alors que nous tentons de les poursuivre.
Malgré quelques blessures nous les éliminons rapidement.
La journée fut plus que rude et la nuit va tomber.
Malgré les fracas des travaux provenant du site du réservoir nous décidons qu’il est temps pour nous de nous reposer et nous restaurer.
Nous eûmes de la chance en découvrant les ruines d’une ancienne habitation dont les sous-sols et leurs accès sont intacts, non loin du site.
Repos et repas furent pris malgré quelques inquiétudes et bruits dans la nuit qui finissent par nous obliger à instaurer un tour de garde.

Le 23/06/1920 :
Après un petit déjeuner rapide nous sortons de notre abri et constatons qu’à l’aube de ce quatrième jour, les choses à l’extérieur ont empiré.
Le temps nous est compté pour agir contre cette entité.
Nous arrivons enfin sur le site en début de matinée et nous approchons du bord de la carrière afin d’observer l’activité.
Force et de constater qu’ils travaillent nuits et jours.
Nous élaborons notre stratégie…



 Après quelques heures d’observations et de réflexion, nous sommes rejoints par Pete et son chien, revenu en meilleure forme.
Nous sommes surpris par le départ soudain du camion et de trois hommes du chantier.
C’est alors que Jenny, Joe, William et le père Matéo descendent vers l’entrée du site et s’occupe du gardien de la grille.
Il s’agit de Gibson le chauffeur déjà rencontré dans la forêt.
Jenny arrive à le convaincre de les laisser entrer afin d’offrir un coup de main aux travaux.
Gibson les emmène vers une cabane dont les fenêtres ont été condamnées.
Pete et moi profitons pour inspecter à notre tour les lieux.
Nous sommes surpris par des bruits et des coups de feu provenant de la cabane où Gibson a piégé nos amis. Pete et moi courons au secours de nos comparses.
A l’extérieur Jenny prépare son pistolet afin de riposter à l’attaque de zombis de soldats de la guerre de sécession et de Joseph Turner.
Après quelques échanges contre les zombis et Gibson, Turner use de pouvoir pour paralyser les membres de l’équipe.
Sur les injonctions de Jenny, Pete et moi arrachons les planches qui occultent la fenêtre principale. La lumière fait fuir les deux zombis restant.
Gibson essayant de contourné William paralysé est abattu par Pete dès qu’il passe devant la fenêtre.
Je profite de ce moment pour aider le père Matéo et Joe à éliminer Turner en utilisant également la magie occulte.
Jenny et William finissent les deux derniers cadavres ambulants, Le père Matéo délivre Jane Strong, ainsi que Brian Howl et son fils, emprisonnés dans la pièce adjacente.
Joe, Pete et moi fouillons la cabane la plus près du lac et y découvrons des outils et 6 bâtons de dynamite.
Après inspection du trou de mine profond de six mètres, Joe indique qu’il faut détruire le cristal bleu afin qu’il soit inaccessible à Agla Aki.
Pete se décide à poser quatre bâtons de dynamite et de les allumer.
Nous filament tous vers l’entrée et la première cabane du site, au même moment le camion est de retour avec les trois hommes partis plus tôt.
Les autres ont été recherché les rescapés et se dirigent également vers l’entrée.
L’explosion fait trembler le comté et projette sur le site un nuage de poussières bleuté.
Un combat au feu s’engage avec nos nouveaux ennemis.
C’est alors que Joe utilise la Thompson et en abat rapidement un.
Les deux autres essaient  de fuir avec le camion, mais sont également neutralisés par deux nouvelles rafales.
Le camion s’arrête net dans un arbre.
William estime les dégâts et répare le camion pendant que le reste de l’équipe valide que le cristal est bel et bien détruit.
A la croisée des chemins nous constatons qu’Harrys et Clayton ont disparu.
Avant la tombée de la nuit nous sommes de retour à Bennington.
Dès le lendemain Strong nous verse la récompense promise.