France-Autriche, cela aurait pu être un match de foot... eh bien non
Bataille NPOWL'autrichien en défense ne se révèle pas trop vite, mais le leurre est déjà découvert sur le coté où le français a basé son attaque de contournement du dispositif.
Le premier village à 15 points tombe facilement et le second n'est pas occupé par l'ennemi.
Au centre la colline est déjà française.
La route vers le second village semble libre, la 12-ème division d'infanterie Pécheux avance confiante en colonne de marche.
Le premier village ralentira quand même la 14 -ème division d'infanterie Hulot
Mais le général en chef autrichien veille au grain, envoie sa cavalerie légère attaquer les français pour les prendre à défaut et place son artillerie à cheval pour canarder les autres.
Mais c'est sans compter les vétérans Français qui se mettent promptement en carré car déjà tout le monde était en colonne d'assaut pour prendre le village.
Oups retour d'un cran en arrière charge des autrichiens
le dispositif se renforce par la division Hulot qui finit par sortir de son village fortifié et contre attaque par le flanc la cavalerie autrichienne stoppée par les carrés.
Cette dernière embarque le général en chef et bouscule l'artillerie à cheval qui recule pour s'éloigner du français après son tir.
Au centre le général en chef Français Gérard retient l'attention d'une division d'infanterie autrichienne décidée à prendre la colline du centre avec une brigade de dragons qui va vendre sa peau chèrement pendant quelques tours.
La seconde division d'infanterie autrichienne intriguée par les combats du centre mettra un certain temps à sortir des champs. Surtout qu'une certaine agitation semble provenir du terrain accidenté en face.
Le français bien décidé à passer, continue son offensive avec une charge furieuse contre la batterie autrichienne.
Elle prend ses jambes et chevaux à son cou et quitte le champs de bataille.
La manœuvre de contournement continue, mais l'autrichien vendra chèrement sa peau pour donné le temps à la division du centre de se réorganiser pour accueillir le français.
Le général en chef autrichien attaché à son régiment mourra avec lui.
Le général en chef français vient soutenir la manœuvre et constate la prise du deuxième village à 15 points.
Pendant ce temps à l'autre bout du champ de bataille la deuxième division autrichienne prend l'escarpement avec la surprise de ne découvrir qu'un camp de gitan.
Le nettoyage terminé, les colonnes française s'en vont prendre le dispositif à revers et viser la ligne de communication à l'autre bout de la table.
Le nouveau général en chef autrichien va débaucher des troupes en garnison pour la défendre.
Mais avec ce couvre feu à 23h00, la nuit tombe et les troupes vont manger et se reposer de cette journée épuisante.
DIDIER a écrit: J'y étais ! Belle partie de reprise ! Du côté autrichien, j'avais 2 divisions d'infanterie, une brigade de cavalerie légère et l'artillerie du corps. Sur mon aile droite, j'ai du sacrifier ma brigade de cavalerie + 1 régiment. d'infanterie pour endiguer la ruée française. Ceci m'a permis de prendre sur mon aile gauche un village et deux collines qui constituaient mes objectif de la partie.